Promenades autour de l'Excelsior
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Promenades autour de l'Excelsior
Ici se trouvent les récits de promenades et autres aventures autour de l'Excelsior ou autour de Poligny que parfois on raconte à ses amis au coin du feu lors des longues soirées d'hiver ou des marches d'été !
Amis de la maisonnée ou simple passants, ce lieu de récits vous est ouvert !
Amis de la maisonnée ou simple passants, ce lieu de récits vous est ouvert !
Dernière édition par xavdr le Dim 4 Oct - 16:06, édité 3 fois
Réveries d'automne
Xavier ressentait au fur et à mesure que les jours se faisaient plus courts et les nuits plus longues la montée de l'appel à la léthargie que lance la nature au début de l'automne avant sa plongée dans la rude froidure hivernale.
Alors l'être humain se souvient de l'été révolu, rève encore de sa lumière et laisse son regard s'emplir un peu plus du feuillage vert qui partout présent s'apprète à partir en un flamboiement universel...
Parfois un regard rêveur décèle d'improbables formes dans les texture que la nature offre
Les dernières fleurs, superbes et éphémères, se déploient, annonciatrices des couleurs dont la nature s'apprète à se parer. Les derniers fruits, juteux ou secs, jaillissent en abondance, précieusement récoltés, avant que l'hiver austère ne soit là.
La façade et la cours de l'Excelsior s'ornent de quelques fleurs d'automnes
Puis le chatoiement des couleurs d'automnes apparaît et se répand en tous lieux. Alors chacun confectionne les provisions de l'hiver, remplit sa réserve de bois, et prépare sa maisonnée à être emmitoufflée de long mois.
En amont de Poligny en remontant la mince rivière qui coule au coeur de la reculée qu'emprunte la route de Genève, on trouve un des moulins qui alimente Poligny en farine.
Le sol se couvre d'un lit de feuilles mourantes qui amorti le choc des pas et offre du confort à ceux qui s'y allongent. Les enfants jouent dans ce paysage improbable que leur regard redécouvre encore sans y être pleinement accoutumé.
Les allées forestières les plus majestueuses de Poligny se trouvent sur le plateau, autour de la forteresse de Grimont et du verger qui la jouxte.
Xavier pensait parfois à ceux qui vivent en couple cet appel à l'emmitouflage. Alors ses pensées dérivaient souvent vers celle qu'il avait aimé le temps d'un été, qu'il imaginait, nostalgique, parée des symboles de ces automnes qu'ils ne vivraient pas blotis l'un contre l'autre.
Medea avait été pour Xavier une révélation, celle du passage de la confiance incertaine de la jeunesse à la maturité affective de l'age adulte.
Ces images ont été aimablement empruntées au merveilleux blog d'Atnhinea et de quelques un de ses amis http://anthinea.bloguez.com/
Alors l'être humain se souvient de l'été révolu, rève encore de sa lumière et laisse son regard s'emplir un peu plus du feuillage vert qui partout présent s'apprète à partir en un flamboiement universel...
Parfois un regard rêveur décèle d'improbables formes dans les texture que la nature offre
Les dernières fleurs, superbes et éphémères, se déploient, annonciatrices des couleurs dont la nature s'apprète à se parer. Les derniers fruits, juteux ou secs, jaillissent en abondance, précieusement récoltés, avant que l'hiver austère ne soit là.
La façade et la cours de l'Excelsior s'ornent de quelques fleurs d'automnes
Puis le chatoiement des couleurs d'automnes apparaît et se répand en tous lieux. Alors chacun confectionne les provisions de l'hiver, remplit sa réserve de bois, et prépare sa maisonnée à être emmitoufflée de long mois.
En amont de Poligny en remontant la mince rivière qui coule au coeur de la reculée qu'emprunte la route de Genève, on trouve un des moulins qui alimente Poligny en farine.
Le sol se couvre d'un lit de feuilles mourantes qui amorti le choc des pas et offre du confort à ceux qui s'y allongent. Les enfants jouent dans ce paysage improbable que leur regard redécouvre encore sans y être pleinement accoutumé.
Les allées forestières les plus majestueuses de Poligny se trouvent sur le plateau, autour de la forteresse de Grimont et du verger qui la jouxte.
Xavier pensait parfois à ceux qui vivent en couple cet appel à l'emmitouflage. Alors ses pensées dérivaient souvent vers celle qu'il avait aimé le temps d'un été, qu'il imaginait, nostalgique, parée des symboles de ces automnes qu'ils ne vivraient pas blotis l'un contre l'autre.
Medea avait été pour Xavier une révélation, celle du passage de la confiance incertaine de la jeunesse à la maturité affective de l'age adulte.
Ces images ont été aimablement empruntées au merveilleux blog d'Atnhinea et de quelques un de ses amis http://anthinea.bloguez.com/
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